CHANTS CÉLESTES
CHANTS CÉLESTES
Goyave et sureau officient le baptême d’un thé blanc raffiné
CHANTS CÉLESTES
Deux muses aux traits contraires, mais dont les coeurs récitent à l’unisson - la goyave et la fleur de sureau -, se livrent ici à la confection d’un éminent thé blanc. Une triade exotique et fleurie où la fleur de souci se donne en offrande de fin. La teinte de ce thé et la douceur de son fruit font de cette union une rare composition.
Tête fleurie,
Coeur exotique,
Fruit de fond.
Tout vient à point qui sait attendre. On portera l’eau à 90°C et l’on prendra soin de doser 4 grammes de thé pour 30 centilitres d’eau de parfaite clarté. On laissera infuser le temps de 2 à 4 minutes. Les feuilles de thé se conservent en un récipient hermétique et opaque, idéalement entreposé dans un endroit frais et sec.
Ces quelques minutes ne méritent pas d’être gâchées. Profitez-en pour déposer les armes de la procrastination. L’heure n’est plus à la temporisation. Veuillez agir et finalisez cet ouvrage volontairement oublié. L’après ne sera que réjouissance et fierté car une chose bien faite est avant tout une chose faite. Notez qu’une théière à proximité facilitera l’effort et adoucira le labeur.
Car l’ouïe et le goût produisent de bienheureuses symbioses, le Conservatoire des Hémisphères vous recommande d’accompagner ce thé de l’accord violon, clavecin de la sonate n°2 de Georg Friedrich Haendel.
Thé blanc, fleurs de souci, arôme naturel, thé vert, arôme.